mercredi 11 décembre 2013

Troisième Projet - Chef en herbe

Céline et Anais














Gwendoline et moi


Voilà une équipe très serieuse qui a beaucoup bossé sur un thème "très originel" - la cuisine !!!
Si vous avez l'envie de regarder notre projet, voici le lien ****











mercredi 13 novembre 2013

Eugène Ionesco



Eugène Ionesco, né Eugen Ionescu le 26 novembre 1901 à Slatina (Roumanie) et mort le 28 mars 1994 à Paris, est un des écrivains les plus célèbres de la littérature française. Dramaturge, il s'inscrit à côté de Samuel Becket comme les auteurs les plus subtiles du théâtre de l'absurde.
Depuis le 16 février 1957, LE SPECTACLE IONESCO est représenté sur la scène du Théâtre de la HUCHETTE pour une petite série… qui ne s’est jamais arrêtée - "La cantatrice chauve" , "La leçon".

Ionesco se raconte. "Ionesco" signifie en roumain <le fils de Jean>. Il se sent de culture française. Il vit en Roumanie de 13 à 26 ans et , à 24 ans, il devient professeur de français à Bucarest. Il obtient ensuite une bourse pour faire une thèse en Sorbonne. Il a toujours écrit : poèmes, essais, débuts de romans, pièces dont la "Cantatrice" écrite pour faire rire des amis. IONESCO se sent un peu prisonnier de ce qu'on a dit de lui. Il s'exprime sur le mot absurde, et sur sa peur de la mort.

« Je n'ai jamais compris, pour ma part, la différence que l'on fait entre comique et tragique. Le comique étant l'intuition de l'absurde, il me semble plus désespérant que le tragique. Le comique n'offre pas d'issue. » (E. Ionesco)

mardi 12 novembre 2013



Deuxième projet –E-Twinning (écoles jumelles)


 


Beaucoup de travail, plusieurs rencontres,  mais à la fin on y est arrivé !!!
NOUS (Céline, Gwendoline, Anaïs et moi), on a donné la possibilité à deux grands peintres - Paul Gauguin et Nicolae Grigorescu- représentant deux pays différents (la France et la Roumanie)  à ‘se rencontrer’.
En faisant ce projet on a eu aussi des soucis parce qu’au début même si on a travaillé avec enthousiasme, on a eu des idées très intéressantes, mais on n’a pas respecté la consigne et le niveau visé (A2/B1). C’est pour cela qu’a a du tout reprendre.
Cette fois-ci on a fait plus attention. En Roumanie on utilise un proverbe pour décrire une telle situation : « Tel qui s´est brûlé avec de la soupe, souffle même dans le yaourt. »
Mais ce projet nous a aidés aussi à réviser un peu les notions acquises dans le cours de TICE et aussi dans le cours de l’évaluation (le référentiel québécois avec les compétences transversales, l’interculturalité, les types d’évaluation, etc.).


On a aussi rigolé, on s’est mieux connu et on a commencé à mieux comprendre l’approche partage. Je trouve tout cela une très bonne expérience et pour cela je vous remercie beaucoup, les filles !!!

Pour faire la preuve de notre travail, voici le lien du blog et le lien du framapad .

Est-ce que vous voulez un peu de kozonak?

Kozonak (pl. kozonatchi) - La brioche roumaine

Cette brioche traditionnelle roumaine est torsadée, parfumée à l'orange et/ou au citron, farcie avec un mélange caramélisé de noix, lait, café instantané et cacao, le tout cuit et réduit en pâte. On peut rajouter aussi des raisins secs. Nul besoin de la tartiner car elle contient une farce chocolatée généreuse et très goûteuse.


Un peu de la gastronomie roumaine. Pourquoi pas?

Puisque le carême orthodoxe commence le 15 novembre, je tiens à vous faire partager une des délices gastronomiques de la Roumanie, les fameuses "sarmale" (sar-ma-lé), dénomination intraductible en français car il n'y en a pas de correspondant dans la cuisine française.

Il faut retenir que durant le carême il est conseillé de consommer que des légumes, des fruits, du riz et du poisson dans les jours où celui-ci est prévu dans le calendrier. La consommation du vin et de l'huile est également réduite.

Les "sarmale" sont préparées avec de la viande hachée du porc, des oignons hachés, du riz, des herbes aromatique comme du persil et de l'aneth, du poivron et du poivre, des tomates. Elles sont roulées dans des feuilles de vigne, des feuilles de chou ou des feuilles de raifort et cuites au four à petit feu dans des casseroles de terre (des pots de la poterie). Servies avec de la polenta et de la crème fraîche elles constituent le menu indispensable à l'occasion de grandes fêtes - comme le Noël et les Pacques. Qui veut manger des "sarmale" avant le carême c'est maintenant qu'il faut les préparer. 




lundi 4 novembre 2013

Le Sphinx de Bucegi

Le Sphinx de Bucegi est un rocher en forme de tête humaine qui rappelle, sous certains angles, la tête du Sphinx de Gizeh. Le Sphinx de Bucegi est situé dans les Carpates, au nord des monts Bucegi. La ville la plus proche du site est Bușteni (lire <Bouchteny> en français) , qui est située à 135 kilomètres de Bucarest. Cette sculpture naturelle est une curiosité locale et une attraction touristique.

Le Sphinx de Bucegi est un monument dont l’origine a deux hypothèses.

La première hypothèse est que le Sphinx est un phénomène naturel identique aux Babele (Babélé - "Les Vieilles Dames"). Placé au sommet d'une montagne à environ 2 200 mètres, les traits ont été taillés par l'action du vent, de la pluie, du dégel du gel.

Deuxième hypothèse, le Sphinx est l'œuvre de l'Homme. D'autres rochers peuvent évoquer par leur forme un visage humain, mais le Sphinx de Bucegi est trop parfait pour être aléatoirement taillé par la nature. Il pourrait s'agir d'un monument religieux sculpté par les Daces, après la guerre victorieuse contre l'armée romaine à l’époque de Domitien en 89 après J.-C.

Le cimetière joyeux de Săpânța

Le cimetière joyeux de Săpânța est un cimetière ayant la particularité d'avoir ses tombes ornées de croix en bois, peintes en couleurs vives, avec un dessin représentant une scène de la vie, une activité de la personne inhumée ou bien les causes de son décès, accompagné d'un poème, parfois nostalgique, parfois humoristique, dédié à la mémoire du mort.

Ce cimetière se situe dans le village de Săpânța, dans le Maramureș au nord de la Roumanie.

Ce cimetière est différent des autres cimetières de Roumanie car les Roumains, comme les autres chrétiens d'Europe en général, considèrent la mort comme un moment très solennel. Tout a commencé en 1935 quand un artisan local, Stan Ioan Pătraș, a sculpté la première épitaphe sur une croix de chêne décorée dans des couleurs vives. En 1960, le cimetière en comptait déjà près de 800. Pătraș s'est inspiré des croyances des Daces enseignées en histoire à l'école. La religion dace (culte de Gabeleisos et de Zalmoxis, présentant, selon Hérodote, des traits que l'on retrouve aussi chez les Pythagoriciens et dans l'Orphisme) se basait sur l'immortalité de l'âme, et la mort était vécue comme un moment de joie et de fête, un passage de la vallée de larmes qu'est la vie terrestre, vers une vie meilleure.

Depuis longtemps et encore en 2012, c'est un cimetière très visité et c'est l'une des grandes attractions touristiques de la région.